La conscience… vaste sujet ! Partie II
Et de quoi est faite cette conscience ?
D’informations. Peut-être que, fondamentalement, l’univers est un tissu d’informations conscientes, organisées par une intelligence sous-jacente.
Mais concrètement, qu’est-ce que cela change dans notre quotidien ?
Comment cette Conscience peut-elle s’intégrer dans ma vie de tous les jours ?
Déjà, je trouve fascinant le simple fait d’avoir accès à ce champ informationnel. Nous y avons tous accès. Ce n’est pas réservé à quelques élus. Il ne s’agit pas d’être quelqu’un de spécial, mais simplement d’utiliser pleinement nos capacités. Et ces capacités sont là, présentes, accessibles à chacun.
Nous ne serons peut-être pas tous des Picasso, mais nous pouvons tous jouer avec des crayons de couleurs.
Et cela me donne un super pouvoir :
Je ne vais pas changer la réalité, mais je peux transformer la manière dont je la perçois.
Je ne peux pas empêcher la pluie de tomber aujourd’hui, mais je peux choisir la façon dont je la vis :
« C’est tout gris, c’est triste »
ou bien
« J’adore le bruit de la pluie sur mon parapluie. »
En changeant mon regard, je reconditionne une réalité qui me freinait. Je me libère de perceptions négatives qui assombrissent mon quotidien.
Je vais chercher consciemment de nouvelles informations pour ancrer une façon différente — et plus joyeuse — de vivre le réel.
Et ça, c’est un autre super pouvoir : je peux changer.
L’intuition est encore un super pouvoir.
Un accès direct à l’information. Une forme de connaissance immédiate, fluide, non rationnelle — mais vraie.
C’est une capacité que nous avons tous : celle de lire le monde autrement, avec une sensibilité plus fine, plus connectée.
Si je suis reliée à tout, alors je ne suis plus une entité séparée. Je suis un écosystème à part entière.
L’interdépendance n’est pas une idée abstraite : c’est une réalité que nous vivons.
À un niveau physique, nous partageons tous la même planète.
Les décisions des uns ont des conséquences sur les autres.
Mais à un niveau plus subtil, nous sommes aussi reliés dans l’invisible.
Certaines expériences l’ont montré.
En 1993, à Washington, des groupes conséquents de méditants ont pratiqué ensemble, et l’impact fut mesurable :
baisse de la criminalité, réduction du stress social.
C’est simple, économique, efficace.
Alors, qu’attendons-nous ?